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L'abandon d'une quatrième licence de téléphonie mobile en France aurait été décidé la semaine dernière à l'Elysée, rapporte lundi La Tribune, qui précise qu'une solution alternative serait en cours d'élaboration. Cette décision aurait été prise lundi dernier à l'Elysée, selon La Tribune, qui cite une source proche du dossier selon laquelle "les derniers arbitrages ne sont pas arrêtés". Pour justifier ce virage à 180 degrés, le gouvernement travaillerait à une solution alternative qui pourrait être annoncée dès cette semaine à l'issue d'une réunion interministérielle. Ainsi, le paquet de fréquences hertziennes de la quatrième licence pourrait être saucissonné en plusieurs blocs et mis aux enchères, selon le journal, qui estime que le candidat en lice, Free, pourrait se satisfaire de cette solution. Ce revirement intervient alors que le Conseil d'Etat a rendu en février un avis favorable à l'étalement du paiement de la quatrième licence mobile 3G, ouvrant ainsi la voie à un nouvel appel d'offres après le rejet par le régulateur des télécoms, l'Arcep, du dossier de Free. Or, le groupe Iliad, maison-mère du fournisseur d'accès internet Free, qui avait été le seul à postuler sans obtenir gain de cause faute de respecter les critères de qualification, avait précisément demande un assouplissement des conditions, notamment un paiement annuel échelonné de la redevance. Cette quatrième licence aurait fait émerger un nouveau concurrent face aux trois opérateurs historiques: Orange, SFR et Bouygues Telecom. L'association de défense des consommateurs UFC-Que Choisir a réaffirmé à moult reprises l'importance de la quatrième licence mobile pour stimuler la concurrence, jugée insuffisante.

 

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Tous les mardis à 22h15,la saga BEAUTY & THE GEEK revient sur NRJ 12. Découvrez en exclusivité la saison 4 inédite en France. Toujours plus loufoque, déjantée, cette saison est de loin la plus croustillante de toutes ! Sélectionnées aux quatre coins des Etats-Unis, 9 superbes jeunes femmes et 9 surdoués que tout oppose vont devoir vivre ensemble pendant plusieurs semaines dans une superbe villa à Los Angeles et former 10 couples a priori improbables. Au programme, des couples «loterie», des tests «à contre-emploi», des éliminations, une «chaise musicale» de la vie amoureuse et culturelle avec à la clé 250.000 dollars pour le couple lauréat. Nouveauté de cette saison, on inverse les rôles ! Sam, bel éphèbe au corps d'Apollon et Nicole, véritable petit génie vont former le 1er couple composé d'un beauty et d'une Geek ! Les candidats sauront-ils s'apprécier et aller au-delà des apparences ? Sauront-ils mettre en avant leurs atouts et combler leurs lacunes pour ne pas se faire éliminer et surtout empocher la somme de 250 000$ ? Produite par le comédien Ashton Kutcher (That 70's Show, L'effet papillon) BEAUTY & THE GEEK est, avant d'être une émission de télé-réalité, une expérimentation sociale aux rebondissements cocasses où chacun apprend le partage, l'humilité et la tolérance. Aux USA, la diffusion de la 5ème saison a commencé le 11 mars 2008 sur CW et réalise les meilleures audiences de la chaîne

 

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Avec "68", diffusé ce soir à 20h50 sur France 2, Patrick Rotman signe un documentaire assez sombre en forme d'"opéra rock", dans lequel se mêlent images et musiques pour faire à nouveau lever le vent de révoltes et d'espoirs souvent déçus qui souffla sur le monde il y a 40 ans. Depuis des années, Rotman, "ancien" de mai 1968, décortique cette période dans ses livres et ses documentaires. Cette fois-ci, il a choisi de replacer les événements français dans un contexte international beaucoup plus large, sur fond de guerre du Vietnam. Pour cela, il s'est appuyé avant tout sur des images en couleur, accompagnées de musiques de l'époque. Le commentaire, dit par l'acteur Vincent Lindon, est "un minimum et n'entend pas être explicatif", explique Patrick Rotman à l'AFP. Le but n'était pas "de faire un film pédagogique, historique ou d'analyse sociologique", souligne Rotman, étudiant à la Sorbonne de 19 ans au moment des événements. "C'est un torrent d'images, de musique, de lyrisme, de drames, de violence, de nostalgie, avec aussi un peu d'humour. C'est un opéra rock sur 68", considère l'auteur. Pour son documentaire de 110 minutes, Rotman est parti à la recherche d'images neuves ou peu vues, en couleur. "A l'époque il n'y avait guère que les télévisions américaines qui ne tournaient pas en noir et blanc", rappelle Rotman qui a visionné des "centaines de reportages de journalistes américains, y compris des rushes". Résultat: un film à 95% en couleur.

Avec beaucoup d'images de la guerre du Vietnam, aiguillon fondamental de la révolte juvénile: ballet d'avions répandant des défoliants, bombardements au napalm sur la jungle, offensive du Têt. Des séquences pleines de violence, la répression des étudiants mexicains, l'exposition macabre de la dépouille du Che Guevara par l'armée bolivienne. L'humour narquois de Daniel Cohn-Bendit, l'agitateur roux, revenu clandestinement en France après s'être fait teindre les cheveux en brun "par une jolie fille". Et des images pleines d'émotion, la foule massée le long des voies pour saluer le train ramenant le corps de Robert Kennedy après son assassinat, les habitants de Prague figés dans le silence lors des obsèques de Jan Palach, étudiant qui s'est immolé par le feu pour protester contre l'invasion de la Tchécoslovaquie par l'armée soviétique. Autre ingrédient majeur du documentaire: la musique. "Elle est au coeur du film comme elle a été au coeur de la contestation", souligne Rotman. La guitare électrique de Jimy Hendrix, la voix de Janis Joplin -qui décèderont l'un et l'autre d'overdose en 1970-, scandent le documentaire qui fait aussi revivre les chansons protestataires comme celles d'Evariste. La conclusion est sombre: "68, année des rêves déçus, des illusions perdues". "Cette année-là, on a cultivé la grande espérance de changer le monde, avec une forme de messianisme. Mais le monde est toujours aussi injuste et inégalitaire", estime Rotman, ancien trotskiste devenu, selon ses propres termes, un "+bon+ social-démocrate au milieu des années 1970"

 

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Un journaliste, reporteur d'images (JRI) de France 2 a été blessé lundi à Paris par des policiers qui l'ont molesté pendant qu'il filmait sur le trajet de la flamme olympique à Paris, a-t-on appris auprès de France 2. Bruno Girodon, 45 ans, filmait une relayeuse handicapée peu après le départ de la flamme olympique vers 13h30 quand il a été "pris à partie par les forces de police", a indiqué le chef du service des JRI de france 2, Roger Motte. M. Girodon, qui s'est présenté comme JRI, a été "mis à terre et frappé à la tête", a indiqué M. Mottte. Il a "perdu connaissance une dizaine de secondes", s'est relevé et a tenté de recommencer à travailler avant d'être conduit à l'hôpital. M. Girodon, qui va "vraisemblablement porter plainte", a été "touché à l'épaule, qui n'est pas cassée, mais a été immobilisée". Le journaliste porte aussi "des traces sur le front", a précisé M. Motte. Il a pu quitter l'hôpital lundi soir après avoir passé des radios. Selon M. Motte, le journaliste doit être interrogé mardi par l'Inspection générale des services (IGS, "police des polices") qui a ouvert une enquête administrative. selon la même source.
D'autre part la préfecture de police (PP) de Paris a indiqué lundi soir à l'AFP qu'elle n'avait pas empêché les caméras de filmer après que
la direction de France 3 eut invoqué un problème avec la police lors de la retransmission télévisée perturbée du parcours de la flamme olympique.
Selon la PP, "plusieurs centaines de manifestants hostiles cherchant à empêcher le départ de la flamme olympique sur l'itinéraire prévu a pu
provoquer des bousculade rendant difficile le travail des journalistes". La PP a ajouté que "en aucun cas le service d'ordre assuré par la
préfecture de police n'a souhaité empêcher les caméras de filmer, dont elle a au contraire tenté de faciliter le travail dans un climat tendu".
La retransmission télévisée en direct du parcours parisien de la flamme olympique a été perturbée lundi sur France 3 à la mi-journée, la direction invoquant un problème avec la police tandis que la section du Syndicat natiobal des journalistes de la chaîne a redouté une "censure".

 

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France Télévisions exigera de pouvoir diffuser les images des jeux Olympiques de Pékin en août en véritable direct, sans aucun décalage imposé par la Chine, a réaffirmé le directeur des sports du groupe public Daniel Bilalian. "Nous n'accepterons aucun différé, même de quelques secondes", a martelé M. Bilalian en présentant à la presse le plan de couverture des JO de France Télévisions. M. Bilalian a rappelé que le président de France Télévisions, Patrick de Carolis, avait écrit récemment au président du CIO (Jacques Rogge) pour lui demander la garantie que la retransmission se fasse dans les vraies conditions du direct. Les craintes ont été soulevées par la façon dont la télévision chinoise a retransmis la cérémonie d'allumage de la flamme olympique à Olympie, avec quelques secondes de décalage. Cet écart a permis à la télévision chinoise de ne pas diffuser l'incident provoqué par Reporters Sans Frontières, et de diffuser des images d'archives à la place. Le groupe France Télévisions retransmettra au total 400 heures depuis Pékin, sur France 2, France 3 et France 4, chaque jour à partir de 3h00 du matin et jusqu'en fin de journée. Près de 400 personnes sont mobilisées pour cette retransmission.

 

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Hayet Zeggar, directrice générale de France 4, chaîne gratuite de la télévision numérique terrestre qui appartient au groupe public France Télévisions, a démissionné de ses fonctions et du groupe, a annoncé un communiqué de France Télévisions.Selon ce communiqué, Hayet Zeggar, à la tête de France 4 depuis trois saisons, a exprimé le souhait de "rejoindre son secteur professionnel d'origine, celui des politiques sociales". Le président de France Télévisions, Patrick de Carolis, a accepté "cette décision personnelle", a-t-il précisé.
La nomination d'un nouveau directeur général de la chaîne doit être proposée au conseil d'administration prévu mardi.
Selon le président de France Télévisions Patrick de Carolis, cité dans le communiqué, France 4 a "réussi à trouver sa place dans le nouveau paysage audiovisuel", avec une "audience deux fois plus importante que l'an dernier, composée à 40% de 15-34 ans" et "une offre de spectacles, de théâtre, de cinéma, de fiction et de sport sans équivalent parmi les autres chaînes de la TNT". La chaîne conservera son "ancrage déterminé comme chaîne des nouveaux talents et des nouvelles générations", a-t-il ajouté

 

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La télévision allemande à péage Premiere est intéressée par Sat1, chaîne grand public détenue par ProSiebenSat1. "Nous sommes intéressés à racheter Sat1", a déclaré Michael Börnicke au quotidien économique Handelsblatt. "La chaîne (...) irait très bien avec nous." Une porte-parole de ProSiebenSat1 a indiqué au journal qu'il n'y avait "pas de discussions" à ce stade. Sat1 est la moins performante des chaînes grand public du groupe ProSiebenSat1, et son audience est en déclin. Premiere pour sa part ne s'est pas encore tout à fait remis de la perte en 2005 des droits exclusifs de retransmission de la Bundeliga, championnat de football allemand. Premiere a un puissant actionnaire, le groupe américain News Corp, qui a annoncé vendredi être monté à 22,7% du capital contre 19,9% actuellement.

 

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La ministre de la Culture et de la Communication Christine Albanel a déclaré lundi à Cannes "que l'on s'oriente plutôt vers une suppression de la publicité sur les chaînes de télévision publiques après 20H00". "J'ai le sentiment que l'on s'oriente plutôt vers une suppression de la publicité lors de la séquence soirée, à savoir pas de publicité après 20H00", a-t-elle déclaré. Cela représente 60% du volume de la publicité des chaînes de France Télévisions, a déclaré Mme Albanel lors d'un point presse au MIPTV. "La suppression en soirée, c'est quelque chose de fort, par exemple par rapport à la concurrence car le début de soirée démarrerait alors à 20H40" et non 20H50 comme c'est le cas actuellement, a souligné Mme Albanel. Le directeur financier de France Télévisions, Damien Cuier, avait indiqué fin mars que cette tranche horaire représentait 600 millions d'euros des 800 millions du chiffre d'affaires publicitaire annuel du groupe. "J'aurais beaucoup aimé" que les conclusions de la commission Copé, chargée de travailler sur la suppression de la publicité sur les chaînes publiques, soient rendues fin mai avec une première lecture à l'Assemblée nationale avant l'été, a déclaré Mme Albanel. La commission Copé pourrait en effet rendre les conclusions de son rapport avec un peu de retard sur le calendrier prévu. Quant aux 150 millions d'euros de compensation pour la baisse du chiffre d'affaires publicitaire de France Télévisions pour 2007, recommandés par la commission Copé, "il s'agit d'un engagement ferme", selon la ministre. Mais la forme comptable --dotation au capital ou versement au budget-- n'a pas encore été décidée. De source proche du dossier, on indique que France Télévisions préfèrerait un versement au budget. La ministre a par ailleurs estimé qu'il fallait se montrer "très prudent" concernant le projet, actuellement en discussion, de suppression des publicités alimentaires pendant les programmes pour les enfants, voire sur d'autres tranches horaires regardées par les plus jeunes. La ministre de la Santé Roselyne Bachelot réfléchit à cette suppression, afin de lutter contre l'obésité enfantine. "On est sûr des dégâts que cela produirait" pour l'économie des chaînes de télévision "sans être sûr des bénéfices" pour la santé des enfants, a indiqué Mme Albanel, qui va rencontrer en fin de semaine la ministre de la Santé.

 

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La CGT des Bouches-du-Rhône a demandé au Premier ministre François Fillon d'intervenir afin que les revendications salariales au sein du groupe informatique franco-italien STMicroelectronics, dont une partie des salariés est en grève depuis 20 jours, soient entendues. Des négociations ont débuté mardi en région parisienne entre les trois syndicats (CGT-FO-CFDT) soutenant la grève à l'usine de Rousset (Bouches-du-Rhône) et la direction, a indiqué la CGT, précisant qu'elles n'avaient pas encore abouti. Les discussions, prévues depuis quelques jours, portent à la fois sur des questions propres au site et des questions nationales pour STMicro. Dans une lettre au Premier ministre rendue publique mardi, la CGT explique que "depuis des mois, à coup de renfort médiatique, vous exprimez une volonté d'augmenter les salaires et de libérer ainsi le pouvoir d'achat pour permettre une véritable croissance dans notre pays. Vous avez l'occasion de tenir vos promesses et de permettre à ces salariés d'augmenter leur pouvoir d'achat". La CGT rappelle que l'Etat est actionnaire à 13,77% de STMicroelectronics et a donc "une responsabilité" dans ce dossier. De source syndicale, environ 1.000 des 2.800 salariés des services de production de l'usine de Rousset sont en grève pour réclamer une hausse générale des salaires de 3%, avec un minimum de 100 euros pour les plus bas salaires. Selon une porte-parole de la direction, les grévistes représentaient "moins de 2%" des opérateurs. La direction du groupe de semi-conducteurs a proposé une hausse générale de 1,7% au 1er avril et 1% d'augmentations au mérite.

 

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Les recettes, les volumes et la durée publicitaires à la radio ont baissé au premier trimestre 2008 par rapport au premier trimestre 2007, selon le bilan de Yacast . Au cours des trois premiers mois de l'année, les recettes publicitaires se sont élevées à 629.603.000 euros, en baisse de 5,8%. Cette baisse a été de 9,1% dans les stations FM, avec un recul de 9,8% dans les 11 stations musicales. Chez les cinq radios généralistes (RTL, Europe 1, RMC, France Inter et Sud Radio) en revanche, les recettes ont en moyenne stagné, en hausse de 0,1%. RMC a néanmoins enregistré une hausse, de +15,5%. Le nombre de messages a enregistré un recul de 10,1% par rapport aux trois premiers mois de 2007, s'élevant à 248.344. Les volumes publicitaires sont en baisse de 12,1% dans les radios généralistes et de 9,2% chez les radios FM. La durée publicitaire a été de plus de 75 jours en temps cumulé dans l'ensemble des radios, contre plus de 83 jours début 2007. Le panel de Yacast comprend 19 stations.

 

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La CGT de l'audiovisuel public souhaite appeler à une journée d'action le 16 avril, jour où la commission Copé sur la télévision publique doit rendre son rapport d'étape, afin de dénoncer le "flou" des mesures envisagées pour compenser la suppression de la publicité. "Face aux imprécisions sur le financement de la suppression de la publicité et aux menaces qui pèsent sur l'audiovisuel public, nous allons proposer aux autres syndicats d'appeler à une journée de protestation le 16 avril, qui pourrait se traduire par une grève et des manifestations", a déclaré mardi à l'AFP Jean-François Téaldi, du SNJ-CGT. Le précédent appel à une grève le 13 février avait été massivement suivi dans l'audiovisuel public. Le mercredi 16 avril, la commission sur la nouvelle télévision publique présidée par Jean-François Copé, patron des députés UMP, doit rendre son rapport d'étape à l'Elysée, en vue d'un rapport définitif sur les moyens de compenser la suppression de la publicité à France Télévisions. Lundi, la ministre de la Culture et de la Communication Christine Albanel a déclaré "que l'on s'oriente plutôt vers une suppression de la publicité après 20H00". Concernant les 150 millions d'euros de compensation pour la baisse du chiffre d'affaires publicitaire de France Télévisions pour 2008, la ministre a affirmé qu'il s'agissait d'un "engagement ferme". Mais la forme comptable - dotation au capital ou versement au budget - n'a pas encore été décidée. "Cette hésitation est source d'inquiétude. On est dans le flou, c'est n'importe quoi", a réagi au nom de l'intersyndicale M. Téaldi, qui rappelle que les syndicats évaluent le manque à gagner pour 2008 à 160 millions d'euros. "On a l'impression que le gouvernement et la commission méconnaissent le mécanismes publicitaires de l'audiovisuel. Et on n'entend toujours pas parler d'un engagement pour les années après 2008", a-t-il ajouté. Les syndicats doivent être reçus mercredi par la commission Copé.

 

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Le nouveau patron de France Musique, Marc-Olivier Dupin, a constitué son équipe de direction, qui comprend Marc Voinchet, Olivier Morel-Maroger et Ariane Chanteloup-Gombert. Né en 1965, Marc Voinchet, venu de France Culture, aura le titre de directeur-adjoint chargé des programmes et de l'antenne. Olivier Morel-Maroger, né en 1962, qui avait été collaborateur (1999-2004) de Pierre Bouteiller quand ce dernier était directeur de France Musique, a été nommé directeur-adjoint chargé de la production et du développement. Née en 1971, Ariane Chanteloup-Gombert, qui était déjà l'adjointe de Thierry Beauvert à la tête de la radio musicale depuis 2004, conserve son titre et aura en charge la coordination des programmes et de la production. Marc-Olivier Dupin a été nommé le 20 mars directeur de France Musique, dont il devra conforter la position face à sa rivale privée Radio Classique.

 

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Microsoft et le groupe TF1 ont associé leurs technologies afin de créer le premier gadget Windows Vista permettant à l'utilisateur d'être alerté en temps réel sur l'actualité des meilleurs programmes proposés par TF1 Vision. L'utilisateur accède directement aux dernières nouveautés à partir de son bureau Vista sans ouvrir un explorateur web. Le gadget vit en fonction des actualités et de la programmation des tops box office cinéma, des spectacles événements, des séries inédites et permet un accès direct à l'offre TF1 Vision. Les trois premiers habillages conçus pour ce gadget sont aux couleurs de trois séries phares (trois exclusives dont deux premiums VOD) : Lost - saison 4,Heroes - saison 2 et Dr. House – saison 3. L'accès direct à l'univers de TF1 Vision, des séries les plus populaires aux films les plus récents, et l'habillage évolutif du gadget qui proposera des thématiques toujours plus proches des dernières nouveautés, en font le tout premier gadget de ce type au monde.

 

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Le projet de loi sur la protection du secret des sources des journalistes, dont l'examen devait débuter mardi à l'Assemblée, a été reporté sine die en raison du retard pris sur le texte sur les OGM, a-t-on appris à l'issue de la conférence des présidents à l'Assemblée. Un autre texte, celui visant à ratifier une ordonnance de 2005 portant réforme de la filiation, fait lui aussi les frais de ce retard et est également reporté. Les deux textes seront, au mieux, débattus début mai. Après le débat sur la motion de censure PS contre le gouvernement, hier après-midi, l'Assemblée reprendra vers 17H00 le texte OGM, entamé mardi 1er avril et sur lequel 173 amendements restent à examiner. Si les députés viennent à bout du projet de loi dans la nuit, le vote solennel pourra avoir lieu mercredi à 16H00 à l'issue de la séance des questions au gouvernement. Sinon ce dernier interviendra dans la foulée de la fin de l'examen de l'ensemble des articles. Le projet de loi Dati, qui vise à inscrire dans la loi de 1881 sur la presse la protection du secret des sources des journalistes, résulte d'un engagement du président Nicolas Sarkozy. En commission, la semaine dernière, les députés ont souhaité apporté des garanties supplémentaires, qui sont toutefois jugées très insuffisantes par la profession.

 

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Le magnat des médias Rupert Murdoch veut renforcer son influence au sein de la chaîne à péage allemande Premiere en plaçant deux de ses hommes au conseil de surveillance, rapporte mardi le quotidien Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ). L'organe de surveillance de Premiere passerait du coup de trois à six membres, selon la FAZ, qui cite des sources proches du dossier. Ni le magnat australo-américain, ni son fils James n'ont pour autant l'intention d'entrer personnellement au conseil de surveillance, affirme le journal. Ces changements au conseil de surveillance doivent être approuvés lors de l'assemblée générale de Premiere le 12 juin. Rupert Murdoch est le premier actionnaire de la chaîne et a fait passer récemment sa participation de 19,9% à 22,7%.

 

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La mutuelle d'assurances Groupama et la société de gestion de risques Sécurité sans frontières (SSF) ont lancé à Paris le premier service d'alerte par balise satellite, couplé à des prestations d'assistance et de secours et activable dans le monde entier en cas d'urgence. "Cette technologie de pointe", expliquent Groupama et SSF dans un communiqué commun, s'adresse aux touristes, aux randonneurs, aux expatriés des entreprises privées et des ONG "jusque dans les endroits les plus reculés du globe, 24 heures sur 24". Les opérations de secours sont lancées dès l'activation par le porteur de cette balise de détresse d'un poids de 280 grammes et d'une taille légèrement supérieure à celle d'un téléphone portable. Le signal émis par la balise est détecté en dix minutes maximum, et avec une précision de 120 mètres, par le réseau mondial de satellites du système Cospas-Sarsat. Il est ensuite transmis, via le Centre national d'études spatiales (Cnes), vers le plateau commun de Mutuaide Assistance (filiale de Groupama et spécialiste de l'assistance des tours-opérateurs) et de Sécurité sans frontières. Dès l'identification du porteur de la balise, et après contact avec son employeur et une analyse de la situation, les experts de SSF décident avec l'entreprise et Mutuaide des moyens de sauvetage à déployer. Ces experts disposent de bases de données (informations géopolitiques sur le pays d'où provient l'appel, données logistiques locales, coordonnées des médecins, de la police ou des organismes de secours ..). Ils peuvent consulter le dossier (éléments médicaux, profil psychologique, rôle dans l'entreprise, situation familiale, personnes à prévenir en cas d'urgence ...) du détenteur de la balise. Toutes ces données permettent, explique SSF, de "venir en aide dans les meilleurs délais" à la personne ou au groupe qui a déclenché sa balise de détresse". La balise est fabriquée par la firme française Kannad installée dans le Morbihan.

 

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La Terbox 1.0 de Métronic permet d'accéder à l'offre de télé par satellite Low cost : Bis Télévisions. Sans avoir à payer de frais de location ou d'installation… Une fois équipé de la Terbox 1.0 (et de la carte Bis fournie* ), les consommateurs pourront profiter de la vingtaine de chaînes de l'offre Bis d'AB Sat (40 d'ici un an). Le meilleur de la TNT + 9 chaînes premium DONT Orange sport TV pour seulement 4,90 euros par mois. Prix de vente généralement constaté : 130 euros

 

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Le premier groupe audiovisuel européen, RTL Group, a annoncé la reprise de ses activités dans le marketing de droits sportifs, avec une agence de marketing à Hambourg (nord de l'Allemagne). RTL Group, basé au Luxembourg, "va à nouveau investir dans les segments attractifs du marketing de droits sportifs à partir de maintenant et recréer l'agence de marketing UFA Sports", selon un communiqué. Aucun détail financier n'est divulgué. UFA Sport sera basée à Hambourg et "principalement active dans le marketing international de droits de retransmission d'événements sportifs pour les médias", précise le communiqué. Pour diriger la société, RTL Group a recruté Philip Cordes, ex-patron de la société de marketing et de droits sportifs Sportfive. La société initiale UFA Sports avait été créée en 1998. Au fil de diverses fusions et transactions, elle avait été intégrée à RTL Group, puis à Sportfive. RTL Group avait cédé ses 25% de Sportfive au français Lagardère en 2006. "Notre ré-entrée dans le marketing de droits sportifs est une mesure parfaitement sensée dans le cadre de l'amélioration de notre portefeuille", commente Elmar Heggen, directeur financier de RTL Group, dans le communiqué.

 

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Public Sénat ,en collaboration avec Lcp-Assemblée nationale, retransmet ,en direct, et en intégralité, la conférence de presse de Jean-François Copé , président de la Commission sur la nouvelle Télévision publique à partir de 12h00, à l'issue de la réunion de cette commission organisée au Sénat

 

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Alors que le film "Bienvenue chez les Ch'tits" s'apprête à franchir la barre des 17 millions d'entrées, RTL qui précise être fière d'être partenaire de ce film événement, propose une journée spéciale et se met aux couleurs du Nord et teinte ses journaux et ses émissions d'une touche « ch'ti » avec pour l'occasion un habillage antenne réalisé par les comédiens du film ont eux-mêmes qui sera diffusé sur l'antenne dès ce week-end. Cette journée spéciale débutera dès 8h50 avec Dany Boon qui sera l'invité de Marc-Olivier Fogiel dans "On ne pouvait pas le rater" pour évoquer ce nouveau record français. De 9h30 à 11H, Julien Courbet dans une émission spéciale Ch'tis « Ça peut vous arriver », ouvrira son standard aux auditeurs du Nord et résoudra leurs problèmes, avec son équipe de spécialistes. A leur tour, Jean-Pierre Foucault et Cyril Hanouna participeront à cette journée. De 11h30 à 12h30, une ambiance Ch'ti règnera dans « La Bonne Touche » avec des jeux spéciaux, des questions ch'tis, des challengers nordistes… A 13h10, Dany Boon sera de retour à s'baraque à RTL et s'installera dans le studio de la rue Bayard pour un moment privilégié offert aux auditeurs de RTL.