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- Out 5, 2021
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Ligue des nations : l’équipe de France féminine prend ses marques en Suisse, sur les terres du prochain Euro
Dans le cadre de la Ligue des nations, les Bleues se déplacent, vendredi, en Suisse, pays hôte du prochain Euro, où elles souhaitent briller après les échecs de la Coupe du monde et des Jeux olympiques de Paris.
Vendredi 4 avril, l’équipe de France féminine de football va découvrir Saint-Gall, ville de son futur camp de base pour l’Euro 2025, qui se déroulera en Suisse, du 2 au 27 juillet. Les Bleues vont y affronter la sélection helvète à 20 heures (en direct sur France 4), à l’Arena, pour tenter de conserver la première place du groupe A2 dans la Ligue des nations et augmenter leur chance de voir le Final Four de la compétition, prévu à l’automne.
Les Françaises ont perdu le dernier match (amical) qu’elles ont joué contre les Suissesses. Le 29 octobre 2024, à Genève, les Bleues, alors privées de leurs cadres Marie-Antoinette Katoto, Sakina Karchaoui, Elisa de Almeida, Griedge Mbock, Selma Bacha, Eugénie Le Sommer ou encore Sandie Toletti, s’étaient inclinées 2-1.
Dès les premiers jours de son mandat, commencé en août 2024, le sélectionneur Laurent Bonadei a été mis au défi de renouveler l’équipe de France, après des résultats décevants lors de la Coupe du monde 2023 et des Jeux olympiques de Paris, où elles ont été éliminées au stade des quarts de finale, respectivement par l’Australie et par le Brésil.
« Ce sera très difficile »
Depuis, en 2025, les Bleues ont bien commencé leur parcours en Ligue des nations avec deux victoires à domicile, d’abord face à la Norvège (1-0), à Toulouse, puis contre l’Islande (3-2), au Mans, rencontre au cours de laquelle l’attaquante Eugénie Le Sommer a battu le record de sélections (199), détenu jusqu’ici par Sandrine Soubeyrand.
« Maintenant, on est dans la compétition, les résultats sont importants, donc je dois garder un certain équilibre », a affirmé le patron des Bleues en conférence de presse, jeudi 27 mars, pour justifier le resserrement de son effectif. Les Bleues occupent la première position du groupe A2 et sont seules à compter deux victoires en autant de rencontres de Ligue des nations.
« On va prendre des repères, s’imprégner du contexte, a indiqué Laurent Bonadei. Mais attention, l’Euro, c’est dans quelques mois ! La Suisse, ce sera très difficile, avec une équipe rajeunie. On est à fond dans cette Ligue des nations. » Le successeur d’Hervé Renard – redevenu sélectionneur de la sélection masculine de l’Arabie saoudite – a précisé que la liste des joueuses retenues pour disputer l’Euro serait révélée après un stage de préparation des deux dernières rencontres de la phase de groupes de la Ligue des nations, au début du mois de juin.
Hiérarchie dans les cages
Pour ce prochain match face à la Suisse, Delphine Cascarino (72 sélections, 14 buts) et Kenza Dali (86 sélections, 13 buts), désormais coéquipières au San Diego Wave FC, dans le championnat américain, font leur retour. La première récupérait d’une blessure, tandis que la seconde manquait de temps de jeu dans son ancien club anglais d’Aston Villa. En revanche, l’attaquante de l’Olympique lyonnais, Kadidiatou Diani (30 buts en 111 sélections), victime d’une commotion cérébrale, est forfait et remplacée par son homologue de Manchester United, Melvine Malard, 24 ans (25 sélections, 6 buts).
Laurent Bonadei s’est également prononcé sur la hiérarchie dans les cages : la gardienne de la Juventus Turin, Pauline Peyraud-Magnin, reste numéro 1, devant Constance Picaud (FC Fleury). Cette dernière manquera ce rassemblement, en raison d’une blessure musculaire à la cuisse droite. Les portières du Montpellier HSC, Marie Petiteau, 22 ans, et Justine Lerond, 25 ans, ont été appelées. Le reste de la liste s’appuie sur l’ossature des cadres de l’équipe de France, à commencer par la capitaine Wendie Renard, la buteuse Marie-Antoinette Katoto ou l’expérimentée Eugénie Le Sommer.
De son côté, le pays hôte du prochain Euro a besoin de reprendre confiance, après une défaite face à la Norvège (2-1) et un nul contre l’Islande (0-0). L’équipe dirigée depuis un an par l’ex-internationale suédoise Pia Sundhage, qui a entraîné les Etats-Unis, la Suède ou le Brésil, a besoin de retrouver de l’efficacité face au but. Après ce rendez-vous en Suisse, les Bleues se déplaceront à Oslo, où elles affronteront la sélection norvégienne, toujours dans le cadre de la Ligue des nations.
Le Monde
Dans le cadre de la Ligue des nations, les Bleues se déplacent, vendredi, en Suisse, pays hôte du prochain Euro, où elles souhaitent briller après les échecs de la Coupe du monde et des Jeux olympiques de Paris.
Vendredi 4 avril, l’équipe de France féminine de football va découvrir Saint-Gall, ville de son futur camp de base pour l’Euro 2025, qui se déroulera en Suisse, du 2 au 27 juillet. Les Bleues vont y affronter la sélection helvète à 20 heures (en direct sur France 4), à l’Arena, pour tenter de conserver la première place du groupe A2 dans la Ligue des nations et augmenter leur chance de voir le Final Four de la compétition, prévu à l’automne.
Les Françaises ont perdu le dernier match (amical) qu’elles ont joué contre les Suissesses. Le 29 octobre 2024, à Genève, les Bleues, alors privées de leurs cadres Marie-Antoinette Katoto, Sakina Karchaoui, Elisa de Almeida, Griedge Mbock, Selma Bacha, Eugénie Le Sommer ou encore Sandie Toletti, s’étaient inclinées 2-1.
Dès les premiers jours de son mandat, commencé en août 2024, le sélectionneur Laurent Bonadei a été mis au défi de renouveler l’équipe de France, après des résultats décevants lors de la Coupe du monde 2023 et des Jeux olympiques de Paris, où elles ont été éliminées au stade des quarts de finale, respectivement par l’Australie et par le Brésil.
« Ce sera très difficile »
Depuis, en 2025, les Bleues ont bien commencé leur parcours en Ligue des nations avec deux victoires à domicile, d’abord face à la Norvège (1-0), à Toulouse, puis contre l’Islande (3-2), au Mans, rencontre au cours de laquelle l’attaquante Eugénie Le Sommer a battu le record de sélections (199), détenu jusqu’ici par Sandrine Soubeyrand.
« Maintenant, on est dans la compétition, les résultats sont importants, donc je dois garder un certain équilibre », a affirmé le patron des Bleues en conférence de presse, jeudi 27 mars, pour justifier le resserrement de son effectif. Les Bleues occupent la première position du groupe A2 et sont seules à compter deux victoires en autant de rencontres de Ligue des nations.
« On va prendre des repères, s’imprégner du contexte, a indiqué Laurent Bonadei. Mais attention, l’Euro, c’est dans quelques mois ! La Suisse, ce sera très difficile, avec une équipe rajeunie. On est à fond dans cette Ligue des nations. » Le successeur d’Hervé Renard – redevenu sélectionneur de la sélection masculine de l’Arabie saoudite – a précisé que la liste des joueuses retenues pour disputer l’Euro serait révélée après un stage de préparation des deux dernières rencontres de la phase de groupes de la Ligue des nations, au début du mois de juin.
Hiérarchie dans les cages
Pour ce prochain match face à la Suisse, Delphine Cascarino (72 sélections, 14 buts) et Kenza Dali (86 sélections, 13 buts), désormais coéquipières au San Diego Wave FC, dans le championnat américain, font leur retour. La première récupérait d’une blessure, tandis que la seconde manquait de temps de jeu dans son ancien club anglais d’Aston Villa. En revanche, l’attaquante de l’Olympique lyonnais, Kadidiatou Diani (30 buts en 111 sélections), victime d’une commotion cérébrale, est forfait et remplacée par son homologue de Manchester United, Melvine Malard, 24 ans (25 sélections, 6 buts).
Laurent Bonadei s’est également prononcé sur la hiérarchie dans les cages : la gardienne de la Juventus Turin, Pauline Peyraud-Magnin, reste numéro 1, devant Constance Picaud (FC Fleury). Cette dernière manquera ce rassemblement, en raison d’une blessure musculaire à la cuisse droite. Les portières du Montpellier HSC, Marie Petiteau, 22 ans, et Justine Lerond, 25 ans, ont été appelées. Le reste de la liste s’appuie sur l’ossature des cadres de l’équipe de France, à commencer par la capitaine Wendie Renard, la buteuse Marie-Antoinette Katoto ou l’expérimentée Eugénie Le Sommer.
De son côté, le pays hôte du prochain Euro a besoin de reprendre confiance, après une défaite face à la Norvège (2-1) et un nul contre l’Islande (0-0). L’équipe dirigée depuis un an par l’ex-internationale suédoise Pia Sundhage, qui a entraîné les Etats-Unis, la Suède ou le Brésil, a besoin de retrouver de l’efficacité face au but. Après ce rendez-vous en Suisse, les Bleues se déplaceront à Oslo, où elles affronteront la sélection norvégienne, toujours dans le cadre de la Ligue des nations.
Le Monde