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Le procès des « papys braqueurs » de Kim Kardashian va s’ouvrir à Paris, neuf ans après les faits
La star américaine de télé-réalité, qui avait été séquestrée et braquée dans son hôtel parisien en octobre 2016, fera face à des accusés diminués par l’âge et la maladie. L’un d’eux est mort récemment.
Alors oui, Kim Kardashian déposera à la barre de la cour d’assises de Paris. On imagine déjà, dans ce vieux palais de justice qui en a tant vu, les escouades de gendarmerie mobilisées le jour de son témoignage, prévu le 13 mai, pour assurer la sécurité de la plaignante aux 357 millions d’abonnés sur Instagram, et la folle file d’attente de ses fans le long du boulevard du Palais, sur l’île de la Cité. Gageons aussi que, parmi la cinquantaine de citoyens convoqués pour cette session d’assises, ils seront plus nombreux que d’habitude à espérer être l’une ou l’un des six jurés tirés au sort pour siéger aux côtés des trois magistrats professionnels. Le procès des braqueurs de la star américaine de télé-réalité s’ouvre lundi 28 avril pour trois semaines.
Le 3 octobre 2016, vers 3 h 15, des officiers de la brigade de répression du banditisme pénètrent dans l’Hôtel No Address, 7, rue Tronchet (8e arrondissement de Paris), montent jusqu’à la suite occupée par Kimberly Kardashian et découvrent une femme « choquée, très pâle, le visage défait, sans maquillage ». « J’ai cru mourir. Je croyais que c’était des terroristes venus pour m’enlever », leur dit-elle.
Le Monde
La star américaine de télé-réalité, qui avait été séquestrée et braquée dans son hôtel parisien en octobre 2016, fera face à des accusés diminués par l’âge et la maladie. L’un d’eux est mort récemment.
Alors oui, Kim Kardashian déposera à la barre de la cour d’assises de Paris. On imagine déjà, dans ce vieux palais de justice qui en a tant vu, les escouades de gendarmerie mobilisées le jour de son témoignage, prévu le 13 mai, pour assurer la sécurité de la plaignante aux 357 millions d’abonnés sur Instagram, et la folle file d’attente de ses fans le long du boulevard du Palais, sur l’île de la Cité. Gageons aussi que, parmi la cinquantaine de citoyens convoqués pour cette session d’assises, ils seront plus nombreux que d’habitude à espérer être l’une ou l’un des six jurés tirés au sort pour siéger aux côtés des trois magistrats professionnels. Le procès des braqueurs de la star américaine de télé-réalité s’ouvre lundi 28 avril pour trois semaines.
Le 3 octobre 2016, vers 3 h 15, des officiers de la brigade de répression du banditisme pénètrent dans l’Hôtel No Address, 7, rue Tronchet (8e arrondissement de Paris), montent jusqu’à la suite occupée par Kimberly Kardashian et découvrent une femme « choquée, très pâle, le visage défait, sans maquillage ». « J’ai cru mourir. Je croyais que c’était des terroristes venus pour m’enlever », leur dit-elle.
Le Monde