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- Out 5, 2021
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Arsenal-PSG : Mikel Arteta, le « petit Guardiola » qui a remis les Gunners sur de bons rails
L’actuel manageur des Gunners avait un modèle : Pep Guardiola. Sa vision commune avec l’entraîneur de Manchester City lui a permis de remettre Arsenal, qui affronte le Paris Saint-Germain, mardi en Ligue des champions, au premier plan.
Mercredi 16 avril au matin, le téléphone de Pep Guardiola, l’entraîneur de Manchester City, sonne. Mikel Arteta tient à lui témoigner sa gratitude, à quelques heures du match d’Arsenal sur la pelouse du Real Madrid, en quart de finale retour de la Ligue des champions. « Il a été une source d’inspiration, c’est lui qui a misé sur moi. Je lui serai toujours reconnaissant. Sans lui, je n’en serais pas là », dira le coach des Gunners en conférence de presse, juste après la qualification de son équipe pour le dernier carré de la plus grande des compétitions européennes de football.
Plutôt que remercier humblement son mentor et compatriote, l’Espagnol de 43 ans aurait pu fanfaronner : Arsenal venait de terrasser le tenant du titre (3-0, 2-1), un avertissement pour le Paris Saint-Germain (PSG), que le club de Londres va retrouver en demi-finale aller, mardi 29 avril à 21 heures. Le PSG sait à quoi s’en tenir, puisqu’il n’avait pas fait le poids lors du match opposant les deux équipes, le 1ᵉʳ octobre, lors de la phase de ligue (0-2).
« Arteta a été capable de changer Arsenal pour en faire à nouveau l’une des équipes les plus compétitives du monde », reconnaissait alors Luis Enrique. L’entraîneur espagnol de Paris s’avouait vaincu par son homologue, qu’il avait connu tout jeune joueur au Barça à la fin des années 1990. A l’époque, Mikel Arteta est un talent prometteur, qui a déserté son Pays basque – où il a grandi avec son ami Xabi Alonso, devenu entraîneur du Bayer Leverkusen – pour rejoindre le centre de formation du club catalan.
Le Monde
L’actuel manageur des Gunners avait un modèle : Pep Guardiola. Sa vision commune avec l’entraîneur de Manchester City lui a permis de remettre Arsenal, qui affronte le Paris Saint-Germain, mardi en Ligue des champions, au premier plan.
Mercredi 16 avril au matin, le téléphone de Pep Guardiola, l’entraîneur de Manchester City, sonne. Mikel Arteta tient à lui témoigner sa gratitude, à quelques heures du match d’Arsenal sur la pelouse du Real Madrid, en quart de finale retour de la Ligue des champions. « Il a été une source d’inspiration, c’est lui qui a misé sur moi. Je lui serai toujours reconnaissant. Sans lui, je n’en serais pas là », dira le coach des Gunners en conférence de presse, juste après la qualification de son équipe pour le dernier carré de la plus grande des compétitions européennes de football.
Plutôt que remercier humblement son mentor et compatriote, l’Espagnol de 43 ans aurait pu fanfaronner : Arsenal venait de terrasser le tenant du titre (3-0, 2-1), un avertissement pour le Paris Saint-Germain (PSG), que le club de Londres va retrouver en demi-finale aller, mardi 29 avril à 21 heures. Le PSG sait à quoi s’en tenir, puisqu’il n’avait pas fait le poids lors du match opposant les deux équipes, le 1ᵉʳ octobre, lors de la phase de ligue (0-2).
« Arteta a été capable de changer Arsenal pour en faire à nouveau l’une des équipes les plus compétitives du monde », reconnaissait alors Luis Enrique. L’entraîneur espagnol de Paris s’avouait vaincu par son homologue, qu’il avait connu tout jeune joueur au Barça à la fin des années 1990. A l’époque, Mikel Arteta est un talent prometteur, qui a déserté son Pays basque – où il a grandi avec son ami Xabi Alonso, devenu entraîneur du Bayer Leverkusen – pour rejoindre le centre de formation du club catalan.
Le Monde