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- Out 5, 2021
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Sarkozy-Kadhafi : tout comprendre à l’affaire du financement libyen avant l’ouverture du procès
DécryptageL’ancien président est jugé, à partir de lundi, pour « corruption passive, financement illégal de campagne électorale, association de malfaiteurs et recel de détournement de fonds publics libyens ». Douze autres prévenus, dont trois anciens ministres, comparaîtront dans ce procès devant le tribunal correctionnel de Paris jusqu’au 10 avril.
Nicolas Sarkozy est de retour au tribunal. Condamné définitivement il y a quelques semaines dans l’affaire « Paul Bismuth », l’ancien président de la République est jugé, à partir du lundi 6 janvier, dans l’affaire du financement libyen présumé de sa campagne présidentielle de 2007. Agé de 69 ans, il comparaît pour « corruption passive, association de malfaiteurs, financement illégal de campagne électorale et recel de détournement de fonds publics libyens ».
Outre M. Sarkozy, douze prévenus sont mis en cause, dont trois de ses anciens ministres – Brice Hortefeux, Claude Guéant et Eric Woerth – et deux hommes d’affaires soupçonnés d’avoir servi d’intermédiaires – Ziad Takieddine et Alexandre Djouhri. Le procès doit se tenir devant le tribunal correctionnel de Paris jusqu’au 10 avril.
Le Monde

DécryptageL’ancien président est jugé, à partir de lundi, pour « corruption passive, financement illégal de campagne électorale, association de malfaiteurs et recel de détournement de fonds publics libyens ». Douze autres prévenus, dont trois anciens ministres, comparaîtront dans ce procès devant le tribunal correctionnel de Paris jusqu’au 10 avril.
Nicolas Sarkozy est de retour au tribunal. Condamné définitivement il y a quelques semaines dans l’affaire « Paul Bismuth », l’ancien président de la République est jugé, à partir du lundi 6 janvier, dans l’affaire du financement libyen présumé de sa campagne présidentielle de 2007. Agé de 69 ans, il comparaît pour « corruption passive, association de malfaiteurs, financement illégal de campagne électorale et recel de détournement de fonds publics libyens ».
Outre M. Sarkozy, douze prévenus sont mis en cause, dont trois de ses anciens ministres – Brice Hortefeux, Claude Guéant et Eric Woerth – et deux hommes d’affaires soupçonnés d’avoir servi d’intermédiaires – Ziad Takieddine et Alexandre Djouhri. Le procès doit se tenir devant le tribunal correctionnel de Paris jusqu’au 10 avril.
Le Monde