- Entrou
- Out 5, 2021
- Mensagens
- 59,090
- Gostos Recebidos
- 1,711
Malgré Gennaro Gattuso, l’OM s’enfonce dans la crise, après une nouvelle défaite à Monaco (3-2)
Le nouvel entraîneur des Marseillais n’a pas fait de miracle en déplacement chez les Monégasques qui ont pris la tête du classement
Pour le premier match de l’entraîneur italien Gennaro Gattuso à sa tête, l’Olympique de Marseille (OM) s’est incliné 3-2 sur la pelouse de Monaco, samedi 30 septembre.
D’Amsterdam à Monaco en passant par Paris, avec sur le banc Pancho Abardonado puis Gattuso, l’OM a encaissé dix buts en trois matchs depuis le début de la crise née de la colère de certains de ses supporters.
Avec deux points pris sur les quatre dernières journées, l’OM s’enfonce un peu plus, se retrouvant 8ᵉ au classement, avec cinq points de retard sur les Monégasques, leaders samedi soir et qui le resteront s’il n’y a pas de vainqueur dimanche entre Nice et Brest.
Gattuso n’a que quelques jours de travail supplémentaires pour préparer le double rendez-vous de la semaine prochaine au Vélodrome, contre Brighton en Ligue Europa jeudi, puis face au Havre dimanche.
Samedi pourtant, après trente-quatre secondes de jeu, les supporteurs de l’OM ont voulu croire que Gattuso était un magicien. C’est en effet le temps qu’il a fallu à Marseille pour ouvrir la marque, une forme d’exploit puisque le coup d’envoi avait été donné par les Monégasques.
Ceux-ci ont immédiatement perdu le ballon et Marseille a donc marqué d’entrée, au bout d’un beau mouvement né d’une inspiration de Joaquin Correa, prolongé par Jordan Veretout et Pierre-Eymerick Aubameyang, dont le centre a abouti, au deuxième poteau, à la reprise du droit d’Iliman Ndiaye, complètement ratée mais victorieuse.
Largesses défensives
Mais Gattuso n’a pas pu corriger en trois jours tous les défauts de l’OM. Plusieurs d’entre eux – largesses défensives, espace derrière le milieu de terrain – ont donc logiquement ressurgi au cours d’une première période où les deux équipes ont chacune à leur tour joliment attaqué et très mal défendu.
Dès la 8ᵉ minute, Monaco est ainsi revenu au score grâce au jeune Maghnes Akliouche. Dix minutes plus tard, Marseille est repassé devant lorsque Samuel Gigot, qui traînait au milieu de la surface depuis le corner précédent, a repris un centre de Ndiaye (18ᵉ).
Cinq minutes de plus et Monaco égalisait encore grâce à Folarin Balogun (23ᵉ), qui enchaînait crochet sur Amir Murillo et frappe du droit pour tromper Lopez après une belle passe d’Akliouche au milieu d’une défense à nouveau à contretemps.
Même défaut et même punition en début de deuxième période : le duo Balogun-Ben Yedder, inédit mais sacrément efficace samedi, s’est à nouveau baladé dans la très tendre défense marseillaise et Akliouche en a profité pour inscrire un doublé (52e). La suite a été désordonnée et approximative et Marseille n’a jamais été en situation de revenir.
Le Monde
Le nouvel entraîneur des Marseillais n’a pas fait de miracle en déplacement chez les Monégasques qui ont pris la tête du classement
Pour le premier match de l’entraîneur italien Gennaro Gattuso à sa tête, l’Olympique de Marseille (OM) s’est incliné 3-2 sur la pelouse de Monaco, samedi 30 septembre.
D’Amsterdam à Monaco en passant par Paris, avec sur le banc Pancho Abardonado puis Gattuso, l’OM a encaissé dix buts en trois matchs depuis le début de la crise née de la colère de certains de ses supporters.
Avec deux points pris sur les quatre dernières journées, l’OM s’enfonce un peu plus, se retrouvant 8ᵉ au classement, avec cinq points de retard sur les Monégasques, leaders samedi soir et qui le resteront s’il n’y a pas de vainqueur dimanche entre Nice et Brest.
Gattuso n’a que quelques jours de travail supplémentaires pour préparer le double rendez-vous de la semaine prochaine au Vélodrome, contre Brighton en Ligue Europa jeudi, puis face au Havre dimanche.
Samedi pourtant, après trente-quatre secondes de jeu, les supporteurs de l’OM ont voulu croire que Gattuso était un magicien. C’est en effet le temps qu’il a fallu à Marseille pour ouvrir la marque, une forme d’exploit puisque le coup d’envoi avait été donné par les Monégasques.
Ceux-ci ont immédiatement perdu le ballon et Marseille a donc marqué d’entrée, au bout d’un beau mouvement né d’une inspiration de Joaquin Correa, prolongé par Jordan Veretout et Pierre-Eymerick Aubameyang, dont le centre a abouti, au deuxième poteau, à la reprise du droit d’Iliman Ndiaye, complètement ratée mais victorieuse.
Largesses défensives
Mais Gattuso n’a pas pu corriger en trois jours tous les défauts de l’OM. Plusieurs d’entre eux – largesses défensives, espace derrière le milieu de terrain – ont donc logiquement ressurgi au cours d’une première période où les deux équipes ont chacune à leur tour joliment attaqué et très mal défendu.
Dès la 8ᵉ minute, Monaco est ainsi revenu au score grâce au jeune Maghnes Akliouche. Dix minutes plus tard, Marseille est repassé devant lorsque Samuel Gigot, qui traînait au milieu de la surface depuis le corner précédent, a repris un centre de Ndiaye (18ᵉ).
Cinq minutes de plus et Monaco égalisait encore grâce à Folarin Balogun (23ᵉ), qui enchaînait crochet sur Amir Murillo et frappe du droit pour tromper Lopez après une belle passe d’Akliouche au milieu d’une défense à nouveau à contretemps.
Même défaut et même punition en début de deuxième période : le duo Balogun-Ben Yedder, inédit mais sacrément efficace samedi, s’est à nouveau baladé dans la très tendre défense marseillaise et Akliouche en a profité pour inscrire un doublé (52e). La suite a été désordonnée et approximative et Marseille n’a jamais été en situation de revenir.
Le Monde
